💡 Dr. Strong, accompagné d’une équipe de chercheurs de l’Université Western à London, Ontario, ont révélé des nouvelles données quant à un possible traitement dans le futur pour les personnes atteintes de la SLA.

Une protéine nouvellement découverte a permis de constater un ralentissement des symptômes de la maladie et une prolongation de la durée de vie chez des mouches à fruits et des souris modèles qui avaient la protéine responsable de la SLA.

Cette découverte est une première étape vers un traitement potentiel de la SLA, ainsi que celui d’autres conditions neurologiques comme la démence fronto-temporale. Toutefois, beaucoup d’autres tests doivent être effectués en laboratoire avant que des essais cliniques soient disponibles aux personnes atteintes. Mais cette nouvelle est une belle source d’espoir pour notre communauté.

© Dr. Michael Strong in the laboratory on Western campus. Megan Morris / Schulich Medicine & Dentistry – Global News

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